Classer par sujet :
- Permis de conduire
- Carte grise
- Certificat d’assurance (carte verte)
- Constat amiable (si vous ne l’avez pas encore fait parvenir à votre assureur)








Toutes les pièces ne peuvent pas être mastiquées. Soit parce que c’est interdit par le constructeur comme c’est par exemple le cas du châssis ou des longerons, soit parce que techniquement, cela ne donne pas une réparation de qualité. La pièce à mastiquer est en général poncée avec du gros papier, nettoyée et dégraissée.
Les mastics dits « cellulosiques », séchant simplement à l’air libre sont aujourd’hui délaissés au profit de mastics « polyuréthanes, epoxy ou polyester », nécessitant un durcisseur.
Lorsque le mastic est poncé, on « l’adoucit », c’est-à-dire qu’on le re-ponce avec un grain fin. On camoufle les parties à ne pas peindre, avec du papier, on dégraisse et on applique un « apprêt ». L’apprêt est un produit destiné à préparer les fonds à la peinture. Ce produit unifie les fonds, il est soit de couleur proche de la teinte de finition soit neutre et unie, il bouche les micro-défauts et les porosités du mastic et, une fois poncé, il reste parfaitement lisse. Les apprêts sont synthétiques, hydrodiluables ou polyuréthane (avec durcisseur).
Le peintre va démonter les petites pièces pouvant l’être aisément, comme les poignées de portes ou les baguettes. Une fois l’apprêt poncé, il camoufle les pièces ne pouvant être déposées, dégraisse la pièce et la peint. Il existe également un procédé appelé, mouillé sur mouillé, donc sans ponçage, cette technique est souvent utilisée dans les réparations rapides.


Notre mécanicien démonte d’abord les pièces mécaniques nécessaires (demi-trains, train arrière ou moteur complet…) Puis notre carrossier pose le véhicule sur un banc permettant à la fois de vérifier l’alignement des points importants du châssis les uns par rapport aux autres et de les redresser si besoin est : c’est le marbre.

